Hébuterne

commune française du département du Pas-de-Calais

Hébuterne est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Hébuternois.

Hébuterne
Hébuterne
La mairie et l'église.
Blason de Hébuterne
Blason
Administration
PaysDrapeau de la France France
RégionHauts-de-France
DépartementPas-de-Calais
ArrondissementArras
IntercommunalitéCC du Sud-Artois
Maire
Mandat
Denis Caron
2020-2026
Code postal62111
Code commune62422
Démographie
GentiléHébuternois
Population
municipale
521 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 07′ 34″ nord, 2° 38′ 11″ est
AltitudeMin. 114 m
Max. 156 m
Superficie11,04 km2
TypeCommune rurale
Aire d'attractionArras
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton d'Avesnes-le-Comte
Législatives1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Hébuterne
Géolocalisation sur la carte : France
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Hébuterne
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Hébuterne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Hébuterne

La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Artois qui regroupe 64 communes et compte 27 059 habitants en 2021.

Géographie

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Localisation

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Hébuterne est un village rural du sud du Pas-de-Calais, limitrophe du département de la Somme, situé à 14 km à vol d'oiseau au nord d'Albert, à 15 km à l'ouest de Bapaume et à 21 km à l'est de Doullens et au sud-ouest d'Arras.

Elle se trouve dans le circuit du Souvenir, un ensemble de lieux de mémoire de la Grande Guerre situé entre Péronne et Albert

La commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, de la zone d'emploi de cette ville et du bassin de vie d’Albert (Somme)[I 1].

Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes, dont quatre dans le département de la Somme :

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 11,04 km2 ; son altitude varie de 114 à 156 mètres[1].

Hydrographie

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Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Climat

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 828 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Paysages

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La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[9]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[10].

Milieux naturels et biodiversité

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Espèces faunistiques et floristiques

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Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[11].

Urbanisme

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La rue de Puisieux.

Typologie

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Hébuterne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,2 %), prairies (9,9 %), zones urbanisées (3,8 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 238, alors qu'il était de 231 en 2015 et de 236 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 88,5 % étaient des résidences principales, 2,1 % des résidences secondaires et 9,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Hébuterne en 2020 en comparaison avec celle du Pas-de-Calais et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (2,1 %) par rapport au département (6,5 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Hébuterne en 2020.
TypologieHébuterne[I 3]Pas-de-Calais[I 4]France entière[I 5]
Résidences principales (en %)88,586,182,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)2,16,59,7
Logements vacants (en %)9,57,58,2

Voies de communication et transports

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La commune est à l'écart des voies principales de communication et est reliée par des routes départementales aux villages voisins.

Son territoire est tangenté au sud par l'ancienne route nationale 319 qui relie Amiens à Arras.

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Herbodcisterna (732-757) ; Herbotcisterna (866) ; Herborcisterna (865) ; Herbustella (vers 1154) ; Herbusterna (1154-1159) ; Herlebusterne (1171) ; Hellebusterne (1218) ; Herlebuternes, Herbusterne (1208) ; Hellebuterne (1270) ; Helebustierne (1258) ; Helbusterne (xiiie siècle) ; Heubusterne (xiiie siècle) ; Helebusterne (1306) ; Hebusterne (1307) ; Helbusternes (1515)[18].

D'après Maurits Gysseling, le nom viendrait d'Haribodi cisterna, citerne de Haribod[19], le nom germanique de Haribod étant lui-même composé de here, "armée"[20], et de bode[21], "messager".

Histoire

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Ancien Régime

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Sous l'Ancien Régime, le village relève de la province d'Artois, du Conseil d'Artois, du gouverneur d'Arras.

Juridiquement, elle les habitants sont soumis à la coutume d'Artois et à la coutume locale de l'échevinage d'Hébuterne de 1507.

La paroisse Saint-Vaast fait fairtie du diocèse d'Arras[22]

Époque contemporaine

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Première Guerre mondiale

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Percy Greaves, l'un des nombreux soldats britanniques qui reposent dans les cimetières d'Hébuterne.
Il est mort en novembre 1916.
plaque commémorative des soldats de Bradford (1914-1918)[23]

En octobre 1914, des combats importants se déroulent à Hébuterne, ainsi que dans les villages voisins, à Monchy-au-Bois, Hannescamps, Foncquevillers, Essarts lors de la Course à la mer[24]

Dans le cadre de la préparation de la relance de l'offensive alliée en Artois, le général Foch confie à la IIe armée française du général de Castelnau une attaque de diversion aux confins de l'Artois et de la Somme. À cette fin, le 7 juin 1915, les forces françaises attaquent la ferme de Toutvent, saillant fortifié par les Allemands entre le village d'Hébuterne et le hameau de Serre-lès-Puisieux[25].

La ferme, située sur un étroit plateau, a été puissamment renforcée par les Allemands au cours de l’hiver 1914-1915

La Bataille d'Hébuterne se déroule entre les villages de Serre, de Puisieux et d'Hébuterne. On compte entre le 7 et le 13 juin 1 760 tués et 8 590 blessés, côté français, et 927 tués, blessés et prisonniers du côté allemand. Les Français ont progressé de 900 mètres sur une largeur de 2 kilomètres[26],[27].

En mars 1918, de nouveaux combats s’y déroulent, alors que la division de Nouvelle-Zélande retient l’avance ennemie. Durant l'été 1918, une partie du village est aux mains des Allemands, le reste l'étant par les Britanniques[24].

Le village est qualifié comme détruit à la fin de la guerre[28] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [29].

L'architecte Jean-Louis Sourdeau participe à la reconstruction du village[30], qui est menée par deux sociétés coopératives de reconstruction.

Hébuterne est concerné par des exercices militaires britanniques pendant la Drôle de guerre, au tout début de la Seconde Guerre mondiale.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[I 1].

Elle faisait partie depuis 18023 du canton de Pas-en-Artois[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Avesnes-le-Comte[I 1]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Intercommunalité

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Hébuterne était membre de la communauté de communes du canton de Pas-en-Artois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Une fusion intervient avec la communauté de communes des villages solidaires, formant le la communauté de communes des Deux Sources. Toutefois, dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité est dissoute, et certaiones de ses communes, dont Hébuterne, rejoignent le , la communauté de communes du Sud-Artois[I 1].

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
     
1945 Louis Moyse[31] Croix d’honneur du mérite franco-britannique
     
1959 Marcel Blondel[32] Cultivateur
     
mars 19831999Raymond Riché[33] Démissionnaire pour raisons de santé
mars 2001juillet 2020[34],[35]Jean-Luc Tabary[36],[37]  
juillet 2020[38]En cours
(au 27 janvier 2023[39])
Denis Caron Agriculteur sur moyenne exploitation

Équipements et services publics

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Un distributeur de pain, alimenté par un artisan du secteur, est implanté à côté de la mairie[40].

Enseignement

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La commune dispose d'une école, qui a bénéficié de la construction d'une salle d'évolution en 2023[41]. elle fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal qui concerne également Gommecourt, Foncquevillers, Puisieux et Hannescamps[42]

Population et société

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Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les Hébuternois[43].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].

En 2021, la commune comptait 521 habitants[Note 4], en stagnation par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
1 1651 1831 3331 3411 2821 3011 2701 2741 256
185618611866187218761881188618911896
1 2051 1871 1831 1331 0651 024979951894
190119061911192119261931193619461954
856812806515635630587607583
196219681975198219901999200620112016
604575516486456465528521524
2021--------
521--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 268 hommes pour 254 femmes, soit un taux de 51,34 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,4 
5,3 
75-89 ans
6,8 
14,4 
60-74 ans
12,7 
20,2 
45-59 ans
17,7 
19,2 
30-44 ans
21,0 
14,8 
15-29 ans
18,0 
25,3 
0-14 ans
21,3 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[48]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Manifestations culturelles et festivités

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  • La foire commerciale et artisanale, organisée par l’association Festivités Hébuternoise et dont la 27e édition a eu lieu en mai 2024[49].

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Vaast, reconstruite après les destructions de la Première Guerre mondiale, en style néo-byzantin. Ses vitraux, réalisés par J. Vosch en 1932-1933, sont  Inscrit MH (1978)[50],[51],[52].

.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Blason
D'azur à sept besants d'or ordonnés 3, 3 et 1; au chef d'or chargé d'une croix ancrée de gueules[22].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Ouvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[54] :

  • H. Desmaret, M. Desmaret et D. Vermeersch, Hébuterne. Mémoire et souvenirs. Plaquette éditée pour l'exposition commémorative de la bataille d'Hébuterne (7 au 13 juin 1915), Arras, Arpège, 1995.
  • M. Desmaret, Le passé recomposé, Arras, Arpège, 2001.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c et d « Commune d'Hébuterne (62422) - commune actuelle », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2024), sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Hébuterne - Section LOG T1 » (consulté le ).
  3. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Hébuterne - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans le Pas-de-Calais - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Hébuterne et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 190.
  19. « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 461 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le )
  20. (en) « HERE », sur gtb.ivdnt.org (consulté le )
  21. (en) « BODE », sur gtb.ivdnt.org (consulté le )
  22. a et b Archives départementales du Pas-de-Calais, document mentionné en Liens externes.
  23. « Les « Bradford Pals » ont leur stèle, cent ans après la fin de la bataille de la Somme », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne , consulté le ).
  24. a et b « Les Batailles d’Hébuterne, Serre et la Ferme du Toutvent », Les grandes batailles de la grande guerre, sur http://www.chtimiste.com (consulté le ).
  25. « La bataille d’Hébuterne », sur archivespasdecalais.fr (consulté le )
  26. « La bataille d’Hébuterne », Chroniques de la Grande Guerre > Histoires de la Grande Guerre, Archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).
  27. « La bataille de Serre-Hébuterne de 1915 a été commémorée : La bataille qui se déroula aux confins de l’Artois du 10 au 13 juin 1915 fut le théâtre d’effroyables combats pour des milliers d’hommes français, alliés et allemands. Au soir de cette bataille, on compta plus de dix mille blessés et plusieurs milliers de morts. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  29. Journal officiel du 13 août 1920, p. 11820.
  30. « Les architctes », La grande reconstruction, Arras, ville nouvelle, sur http://arraslagrandereconstruction.fr/, (consulté le ).
  31. Archives départementales du Pas-de-Calais, 1405 W 370 : notices de renseignements sur les maires du Pas-de-Calais (1947-1953)
  32. Archives départementales du Pas-de-Calais, 1 W 26989 : notices individuelles de renseignements sur les maires du Pas-de-Calais (1959-1964)
  33. « À la mémoire de Monsieur Raymond RICHÉ », sur memoire.lavoixdunord.fr (consulté le ).
  34. « Le maire d’Hébuterne se ravise et s’élancera pour un nouveau mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne , consulté le ) « Après trois mandats à la tête de la commune de 500 habitants située entre Doullens et Bapaume, Jean-Luc Tabary avait envisagé de raccrocher l’écharpe tricolore. Il se présentera finalement en mars, a-t-il annoncé lors des vœux. Pour barrer la route à un conseiller municipal ».
  35. « Jean-Luc Tabary ne sera plus le maire d’Hébuterne », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne , consulté le ).
  36. « Jean-Luc Tabary a été réélu maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Nicolas André, « Bilan du maire à Hébuterne - Jean-Luc Tabary : « Nous avons aménagé notre école… et voilà que se profilent les RPC ! » : Jean-Luc Tabary gère une commune de 530 habitants. Un village animé à deux pas de Foncquevillers qui dispose d’un café, d’une boulangerie, d’une auto-école, héberge un architecte et un maçon. Il y a une tradition de services et de commerce dans cette commune dont la foire du deuxième dimanche de mai est devenue un rendez-vous prisé dans le sud Artois », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Sans surprise, Denis Caron élu maire d’Hébuterne », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne , consulté le ) « Le quinquagénaire qui a relancé la foire commerciale l’an dernier est élu maire du village du sud Artois de 500 habitants. Daniel Ponthieu, figure du village, qui avait créé la foire dans les années 1990 est son premier adjoint ».
  39. « Hébuterne : cinq anciens élus ou encore en fonction mis à l’honneur », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne , consulté le )« À l’occasion des vœux, la maire Denis Caron a souhaité mettre à l’honneur cinq anciens élus ou encore en exercice qui ont œuvré pour le village ».
  40. « Hébuterne : un distributeur de pain réinstallé dans le centre du village », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. Christophe Hautecoeur, « Hébuterne: les travaux de rénovation de la mairie ont débuté », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. « Hébuterne : les enfants reprendront lundi le chemin de l’école », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne , consulté le ).
  43. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Hébuterne (62422) », (consulté le ).
  48. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  49. « Hébuterne : des milliers de visiteurs attendus ce dimanche pour la grande foire commerciale et artisanale », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. « onze verrières du choeur et de la nef », notice no PM62007827, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  51. « huit verrières de la nef : Remise du rosaire à saint Dominique, Apparition de Notre-Dame de Lourdes, Saint Vaast rend la vue à un aveugle, Saint Vaast aux portes d'Arras, Baptême du Christ, Crucifixion et Jugement dernier, et verrière dite du Souvenir », notice no PM62007829, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  52. « trois verrières du chœur : Multiplication des pains, Sainte Cène et Apparition du Sacré-Cœur à Marguerite-Marie Alacocque », notice no PM62007828, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  53. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  54. « La commune de Hébuterne », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).