Hombleux

commune française du département de la Somme

Hombleux est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Hombleux
Hombleux
Hôtel de ville.
Administration
PaysDrapeau de la France France
RégionHauts-de-France
DépartementSomme
ArrondissementPéronne
IntercommunalitéCommunauté de communes de l'Est de la Somme
Maire
Mandat
Éric Lefebvre
2020-2026
Code postal80400
Code commune80442
Démographie
Population
municipale
1 139 hab. (2021 en diminution de 0,26 % par rapport à 2015)
Densité72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 21″ nord, 2° 59′ 10″ est
AltitudeMin. 52 m
Max. 76 m
Superficie15,81 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionHors attraction des villes
Élections
DépartementalesCanton de Ham
LégislativesCinquième circonscription
Localisation
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Hombleux
Liens
Site webhombleux.fr

Elle a pris le le statut de commune nouvelle à la suite de l'absorption de la commune de Grécourt, qui ne comptait que 21 habitants.

Géographie

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Localisation

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Ce bourg picard du Santerre est situé à 8 km à l'est de Nesle. Desservi par l'ancienne route nationale 30 (actuelle RD 930), il est aisément accessible par l'autoroute A1 en passant par Roye.

La ligne ferroviaire d'Amiens à Laon traverse la commune.

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

Hydrographie

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La commune est limitée à l'ouest par le canal du Nord et à l'est par le fleuve côtier la Somme et ses étangs. Le Petit Ingon, le ruisseau Lonchy et l'Allemagne passent également dans le territoire communal.

Climat

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 695 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Hombleux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8].Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Hameaux et écarts

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La commune comprend le hameau de Canisy qui fut lui-même fugacement une commune avant d'être absorbé par Hombleux entre 1790 et 1794[12], ainsi que celui de Bacquencourt. Depuis la fusion au , Grécourt est également devenu un hameau de la commune nouvelle.

Voies de communication et transports

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La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 52, Nesle - Hombleux - Ham)[13].

Voies ferrées

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La commune disposait d'une gare sur la ligne d'Amiens à Laon. À la sortie de la Première Guerre mondiale, elle était desservie par l'ancienne ligne militaire à voie de 0,60 m, Roye - Ham[14].

L'ancienne gare.

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Homblaus en 1015 ; Hunblaus en 1016 ; Humblaus en 1017 ; Humblous en 1089 ; Humblus en 114. ; Hombleux en 1145 ; Homblex en 1152 ; Hamblos en 1160 ; Hombleus en 1175 ; Humblues en 1186 ; Humbleus en 1213 ; Umbleus en 1219 ; Hombeleuse en 1341 ; Hombleu en 1761[15].

Hombleux serait issu du houblon du bas latin humulus d'origine germanique, avec le suffixe osum, peut-être de l'oïl *omble, cas sujet de homlon « houblon » avec le suffixe -eux (du latin -osus) : « ( terrain ) convenant à la culture du houblon »[16], « lieu où l'on cultive le houblon »[17].

Histoire

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L'origine mérovingienne de la localité est revendiquée localement[18].

Dès 1015, la localité est citée lorsque l'évêque de Noyon attribue les revenus du village à ses chanoines[18].

Première Guerre mondiale

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[19],[20],[21],[22],[23],[24].

Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [25].

Seconde Guerre mondiale

Le , un bombardement vise la sucrerie. C'est le centre de la localité qui est touché. En plus des dégâts, 44 civils perdent la vie ; 4 soldats sont frappés à mort à Hombleux[26].

Fusion de communes

À la suite de la fusion avec Grécourt qui ne comptait plus que 21 habitants, le Hombleux a pris le statut de commune nouvelle[27],[28]. Une telle fusion avait déjà été envisagée en 1971 dans le cadre des dispositions de la loi sur les fusions et regroupements de communes (ou Loi Marcellin)[29].

Grécourt est représenté au conseil municipal d'Hombleux par un maire-adjoint, comme à Bacquencourt et Canisy[28],[30].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Nesle[12]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Ham.

Intercommunalité

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La commune faisait partie de la communauté de communes du Pays Neslois (CCPN), créée fin 2001, et qui succédait au district de Nesle, créé par arrêté préfectoral du .

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[31], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[32].

La fusion intervient le et la nouvelle structure, dont la commune fait désormais partie, prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[33],[34].

Liste des maires

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Liste des maires successifs de la commune puis de la commune nouvelle[réf. nécessaire]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
17931794Claude Michel François Vasseur  
avril 1794août 1802Médard Alexis Vasseur  
18331840M. Gruet  
18411858M. Cordelle  
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 Hélène Dancoisne-Lucquet  
Les données manquantes sont à compléter.
mars 20012005[35]Yves Vassent Décédé en fonction
2005juillet 2020[35]Christian Avy[36],[30] Vice-président de la CC du Pays Neslois (2014 → 2016)
Vice-président de la CC de l'Est de la Somme (2017 → 2020)
juillet 2020[37],[38]En cours
(au 8 décembre 2020)
Éric Lefebvre Entrepreneur

Démocratie participative

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La municipalité élue en 2020 a décidé la créatoion d'un conseil municipal pour les jeunes[39]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 1 139 habitants[Note 1], en diminution de 0,26 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
8048028808821 1141 1831 2871 2751 254
185618611866187218761881188618911896
1 2041 1871 2151 1311 1061 0801 0101 0011 021
190119061911192119261931193619461954
1 0461 020910829897936932880852
196219681975198219901999200620112016
9219351 0511 1401 1101 0099951 0901 173
2021--------
1 139--------
(Sources : Insee à partir de 1793[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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L'école primaire publique Louis-Sclavis compte 122 élèves en maternelle et en élémentaire à la rentrée scolaire 2017[41].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Orgue ancien de l'église.
Dessin du Major Jeffrey Rose : Le clocher de l'église (16 avril 1971).
  • Église Saint-Médard[42],[43],[44], reconstruite après la Première Guerre mondiale. L'orgue de 1510 et son buffet de la même époque ont été emportés par l'armée allemande en 1917[45]. La chaire à précher du XVIIIe siècle a disparu en 1940[46]. L'église a été dotée d'un carillon de 16 cloches en 1931, à la fin de sa reconstruction[47].
  • Chapelle funéraire Saint-Charles. Elle a été construite en 1853 et a résisté à la Première Guerre mondiale[48].
  • Moulin à vent.
  • Château de Breuil[49].
  • Anciens bâtiments d'une râperie industrielle reconstruite après la Première Guerre mondiale[50],[51] pour la société industrielle et agricole du Santerre en brique et structure métallique. L'installation alimentait par une canalisation souterraine l'usine de Ham en jus de betterave ainsi que la distillerie de Nesle, et son activité a cessé entre 1950 et 1960[52].
La raperie en 2015.
  • Ferme de Canisy, 50 rue du Château à Canisy, dont les parties les plus anciennes datent des XVI e et XVIIe siècles. Elle a été restaurée et modifiée au XXe siècle[53].
  • Cité ouvrière, 44 à 48 rue du Château à Canisy, semblant dater de la Reconstruction[54].

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. « Plan séisme » (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Hombleux et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune de Hombleux ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. a et b Carte de Cassini.
  13. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  14. Daniel Delattre, Les chemins de fer de la Somme au début du XXe, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 144 p. (ISBN 978-2-915907-91-9), p. 98 & 137.
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 487 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : : Formations non-romanes, formations dialectales, Genève, Droz, , p. 1319.
  17. Source : le nom des lieux de Picardie de Chaurand et Lebegue.
  18. a et b Panneau d'informations sur la place du village.
  19. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  20. Section photographique de l'armée, « Photo : Hombleux. Destructions systématiques par les Allemands : la mairie incendiée », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  21. Section photographique de l'armée, « Photo : Hombleux. Destructions systématiques par les Allemands ; un coin du village détruit », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  22. Section photographique de l'armée, « Photo : Hombleux. Destructions systématiques par les Allemands ; matériel agricole mis hors d'usage et arbres fruitiers abattus », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  23. Section photographique de l'armée, « Photo : Hombleux (près et à l'ouest). Destructions systématiques par les Allemands : distillerie saccagée : la salle des diffuseurs », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  24. Section photographique de l'armée, « Photo : Hombleux. Dans le village délivré ; fermiers dont la ferme a été brûlée et qui logent dans un refuge à porcs intact », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  25. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  26. « En mémoire des bombardements de 1944 », Courrier picard,‎ , p. 22.
  27. « Arrêté préfectoral du 7 décembre 2018 portant création de la commune nouvelle de Hombleux », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2018-086,‎ , p. 24-29 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  28. a et b « Grécourt et Hombleux se sont mis d'accord sur le contrat de mariage », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Mariage entre Hombleux et Grécourt en vue : Le conseil municipal [de Hombleux] a débattu sur la possibilité de fusion avec ce village de 20 habitants », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. a et b Réélu maire de la commune nouvelle pour le mandat 2019-2020 : Justine Esteve, « Christian Avy élu maire de la commune nouvelle : Après des derniers jours tendus entre les élus, le premier conseil municipal d’après fusion a eu lieu. Le maire sortant, Christian Avy, a été élu à la tête de la commune nouvelle », Le Journal de Ham, no 107,‎ , p. 16.
  31. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  32. Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
  33. V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Imposée par l’État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
  34. « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50,‎ , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l’Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
  35. a et b « Pour Christian Avy, édile d’Hombleux-Grécourt : « Le maire ne peut pas contenter tout le monde » : Après deux mandats et demi de maire, Christian Avy annonce ne pas vouloir repartir en 2020 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu depuis 1995 à Hombleux en tant qu’adjoint puis maire en cours de mandat lors du décès de son prédécesseur Yves Vassant, en 2005, Christian Avy explique pourquoi il ne se représentera pas aux Municipales 2020. ».
  36. Réélu pour le mandat 2014-2020 (avant la fusion de 2019 : « Procès-verbal de l'installation du Conseil Municipal et de l'élection du Maire & des Adjoints Commune de HOMBLEUX 80400 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Compte rendu Conseil Municipal, sur hombleux.fr, (consulté le ).
  37. « Qui remplacera Christian Avy au poste de maire de Hombleux? : Pour les élections municipales, deux têtes de listes se sont dévoilées. Quant à la troisième, celle-ci souhaite attendre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. Françoise damiens, « Hombleux : le nouveau maire est installé », Le Journal de Ham,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Un conseil municipal pour les jeunes va être créé à Hombleux : Une première réunion a lieu jeudi 29 octobre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. L'école sur le site du ministère de l'éducation nationale.
  42. Section photographique de l'armée, « Photo : Hombleux. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  43. Section photographique de l'armée, « Photo : Hombleux. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  44. Section photographique de l'armée, « Photo : Hombleux. L'église et le cimetière », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  45. « orgue de tribune », notice no PM80001680, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture et « orgue de tribune : buffet d'orgue », notice no PM80001487, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  46. « chaire à prêcher », notice no PM80000767, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  47. « Le carillon d’Hombleux se découvre et se mettra à chanter samedi : Les curieux pourront découvrir le carillon de l’église Saint-Médard, samedi 14 octobre, avant un concert », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 276 (ASIN B000WR15W8).
  49. « Hombleux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du Quid (consulté le ).
  50. Section photographique de l'armée, « Photo : Hombleux. Destructions systématiques par les Allemands ; râperie de betteraves Bernot ; bureaux et maison du directeur incendiés », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  51. Section photographique de l'armée, « Photo : Hombleux. Destructions systématiques par les Allemands : râperie de betteraves Bernot ; machines mises hors d'usage », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  52. « Râperie de betteraves dite Râperie de la Sté Industrielle et Agricole du Santerre, puis C.N.S.R. », notice no IA00076512, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  53. « Ferme de Canisy, dite aussi ferme Van Heeswyck », notice no IA80000811, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  54. « Cité ouvrière », notice no IA80000812, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.