Saulce-sur-Rhône

commune française du département de la Drôme

Saulce-sur-Rhône est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saulce-sur-Rhône
Saulce-sur-Rhône
La mairie.
Blason de Saulce-sur-Rhône
Héraldique
Administration
PaysDrapeau de la France France
RégionAuvergne-Rhône-Alpes
DépartementDrôme
ArrondissementNyons
IntercommunalitéMontélimar-Agglomération
Maire
Mandat
Stéphane VARGAS
2022-2026
Code postal26270
Code commune26337
Démographie
Population
municipale
1 848 hab. (2021 en augmentation de 0,22 % par rapport à 2015)
Densité100 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 42′ 16″ nord, 4° 47′ 59″ est
AltitudeMin. 76 m
Max. 161 m
Superficie18,43 km2
TypeBourg rural
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionHors attraction des villes
Élections
DépartementalesCanton de Montélimar-1
LégislativesDeuxième circonscription
Localisation
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Saulce-sur-Rhône
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Saulce-sur-Rhône
Liens
Site webwww.saulce.com

Géographie

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Localisation

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La commune de Saulce-sur-Rhône est située à 7 km au sud de Loriol-sur-Drôme (chef-lieu du canton) et à 18 km au nord de Montélimar.

Relief et géologie

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Sites particuliers :

Géologie

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Hydrographie

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La commune se trouve sur la rive gauche du Rhône qui est doublé par le canal d'amenée[1].

Elle est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • la Teysonne ;
  • Ruisseau de l'Olagnier ;
  • Ruisseau de Véronne.

Climat

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En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 852 mm, avec 6,5 jours de précipitations en janvier et 4,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Livron », sur la commune de Livron-sur-Drôme à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 917,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports

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La commune est traversée par la route Nationale 7.

Elle est traversée par l'autoroute A7. Le péage le plus proche est à quelques kilomètres plus au nord :  16 Loriol-sur-Drôme.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saulce-sur-Rhône est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8].Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (56,1 %), eaux continentales[Note 1] (13,7 %), forêts (12 %), cultures permanentes (10,5 %), zones urbanisées (4,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Quartiers, hameaux et lieux-dits

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Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Banse
  • Chardonnier
  • Château Freycinet
  • Château Gazavel
  • Château la Tour de Veyre
  • Clavelle
  • Clessat
  • Condamine Longue
  • Fouillas
  • la Bâtie
  • la Chaparde
  • la Dame
  • la Ménagerie
  • la Motte
  • l'Apothicaire
  • la Puce
  • le Bosquet
  • le Colomb
  • le Colombier
  • le Pavé
  • les Blaches
  • les Chapelles
  • les Comtes
  • le Serre
  • les Îles
  • les Reys de Saulce
  • les Rustes
  • Leydier
  • l'Île Borel
  • l'Île Tamissier
  • l'Olivette
  • Maison Astier
  • Maison Bardet
  • Maison Chastel
  • Maison Chastan
  • Maison Cholvy
  • Maison Courbier
  • Maison Defaysse
  • Maison Dubois
  • Maison Dufau
  • Maison Durand
  • Maison Faure
  • Maison Mourier
  • Maison Nury
  • Maison Pélissier
  • Maison Sérusclat
  • Maison Sestier
  • Meluret
  • Pompeï
  • Saint-Pierre
  • Usine Berthenod

Logement

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Projets d'aménagement

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Risques naturels et technologiques

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Toponymie

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Attestations

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[13] :

  • 1771 : Sausse sur Mirmande (archives de la Drôme, E 995).
  • 1891 : Saulce, commune du canton de Loriol.

(non daté)[réf. nécessaire] : Saulce-sur-Rhône.

Étymologie

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Histoire

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Antiquité : les Gallo-romains

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Le territoire de la commune est traversé par la Via Agrippa. Une station est située au lieu-dit Bances (voir ce nom).

Du Moyen Âge à la Révolution

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La terre fait partie de celle de Mirmande[13].

La commune actuelle correspond approximativement à l'ancienne paroisse de Bances qui fut supprimée au XIVe siècle puis rétablie au XVIIe siècle sous le nom de paroisse des Îles de Bayes.
Cette paroisse avait pour collateur l'évêque diocésain et pour décimateur l'abbé de Saou (en sa qualité de prieur de Saint-Didier de Mirmande)[13].

XVIIe siècle : présence d'une relais de poste[14].

Bances

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

  • 333 : Bantianis (Itinéraire de Bordeaux à Jérusalem) ou Vancianis (variation du ms. de Paris).
  • Ve siècle : Batiana (Table de Peutinger).
  • Vers 700 : Untiana (Anonyme de Ravenne).
  • 1179 : mention de la paroisse : ecclesia Bancianis (cartulaire de Saint-Chaffre, 33).
  • 1549 : mention du prieuré : prioratus Beate Marie de Bayno (rôle de décimes).
  • 1729 : mention du prieuré : le prioré de Notre-Dame de Bance (rôle de décimes).
  • 1891 : Bances, quartier de la commune de Saulce.

Ancienne station romaine devenue plus tard le chef-lieu d'une paroisse du diocèse de Valence. Les dîmes appartenaient au prieur de Cliousclat (remplacé au XVe siècle par l'évêque de Valence).
Supprimée dès le XIVe siècle, cette paroisse est remplacée, au siècle suivant, par un prieuré séculier dit de Notre-Dame de Bances ou de Bayes. Il était de la collation de l'évêque diocésain.
Le , la circonscription paroissiale de Bances est érigée en succursale sous le nom de les Îles de Bayes[15].

Le centre de population s'étant insensiblement déplacé, cette paroisse est devenue la paroisse puis, en 1860, la commune de Saulce[15].

Château La Tour de Veyre

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Le toponyme serait issu de l'occitan veyre « voir ». Elle est en effet bâtie sur un bloc de poudingue d'où l'on peut « voir » la vallée du Rhône sur plus de trente kilomètres[réf. nécessaire].

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

  • 1342 : bastida de Verre (inventaire des dauphins, 95).
  • 1359 : bastida de Verro (cartulaire de Montélimar, 61).
  • 1360 : turris vocata de Verre et turris dal Verre (cartulaire de Montélimar, 61).
  • 1695 : la Bâtie et Tour-du-Verre (archives de la Drôme, C 936).
  • 1695 : la Bâtie-du-Verre (archives de la Drôme, C 945).
  • 1739 : la Bâtie-de-Mirmande (archives de la Drôme, E 2263).
  • 1766 : la Tour-du-Verre lez Mirmande (Devifz, notaire à Lachamp).
  • 1891 : La Bâtie-Tour-de-Verre, château sur la commune de Saulce.

En 2020, le site Géoportail donne l'appellation Château La Tour de Veyre[17].

La seigneurie[16] :

  • Au point de vue féodal, la terre était du fief des évêques de Valence.
  • Possession des Adhémar (Adhémar de Monteil[réf. nécessaire]).
  • 1296 : elle passe aux Donzère (Guillaume de Donzère[réf. nécessaire]).
  • Recouvrée par les Adhémar.
  • 1489 : vendue aux Baile (Bayle, dont trois blasons sont incrustés dans les murs : deux dans la cour intérieure et un dans la cuisine ; ces blasons représentent un lévrier. Les armoiries de ces blasons ont été martelées à la Révolution[réf. nécessaire]).
  • Avant 1540 : passe (par mariage) aux Bannes, derniers seigneurs de la Bâtie-Tour-de-Verre (Paul-César de Banne (1732-1806), marquis de Puygiron, est le dernier seigneur de la Tour[réf. nécessaire]).

De la Révolution à nos jours[réf. nécessaire] :

  • Charles-Sébastien de Banne (1762-1836), fils du dernier seigneur, et sa mère Geneviève de Banne (1732-1812) restent propriétaires.
  • 1812 : la Tour du Vère est vendue à un allié de leur famille : le général vicomte Joseph Marie de Pernety (1766-1856).
  • 1836 : Ernest de Soubeyran de Saint-Prix achète la Tour, ses dépendances et 123 hectares. Il s'y installe avec son épouse, Adélaïde Domet de Mont. Depuis, sept générations ont habité la Tour du Vère.
  • De nombreux artistes et des hommes politiques y ont séjourné ; Émile Loubet, président de la République, étant le plus connu.

Évolution du bâtiment et du domaine[réf. nécessaire] :

  • À l'époque des Adhémar de Monteil, seule une partie du donjon existait. Il était carré, accolé des deux façades nord et est.
  • La famille Bayle ferma la cour intérieure au XVe siècle. On accédait à cette dernière en calèche par une rampe d'accès qui se situait à la place des marches actuelles menant à la grande terrasse. Les écuries se trouvaient à la place du grand salon actuel.
  • La famille Banne a décoré cette cour intérieure de fenêtres et de portes d'époque Renaissance. Ils ont aussi apposé au donjon une tour heptagonale qui contient un escalier à vis montant au sommet du donjon et desservant les pièces. Une chapelle de style gothique fut construite dans la façade est.
  • Ernest de Saint-Prix apporta lui aussi de nombreux aménagements à la Tour qui était en partie ruinée. Il rénove les structures de la cour intérieure avec des portes, des escaliers et de nouvelles pièces. Il crée la façade sud. Il fait construire la grande terrasse ainsi que les escaliers qui remplacent la rampe carrossable. Il transforme les écuries en salon : pour cela, il fait construire une voûte et fait appel à un peintre italien pour la décorer.
Ernest de Saint-Prix dessine le parc et l'allée de platanes. Il embauche un ancien soldat du Génie de Napoléon à la Bérézina pour les terrassements et l'aménagement hydraulique.
  • Le fils d'Ernest, Camille de Saint-Prix poursuivit la restauration. Il embaucha un jardinier qui se révélera si habile qu'il finira jardinier en chef des jardins du Sénat (palais du Luxembourg) à Paris.
Camille était artiste-peintre, élève de Thomas Couture et ami de Gustave Courbet ; il eut l'idée de restaurer une vieille cheminée délabrée d'époque Renaissance qui se trouvait au château des Tourettes, distant de trois kilomètres, et plaça cette cheminée dans le salon.
Au XIXe siècle, on cultivait la vigne mais après la destruction des pieds de vigne par le phylloxera, Camille construisit la magnanerie qui se trouve de l'autre côté de la grande cour, et planta 50 hectares de mûriers pour l'élevage du ver à soie.

De la Révolution à nos jours

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Le , la Compagnie du chemin de fer de Lyon à la Méditerranée (LM) ouvre à l'exploitation la section de Valence à Avignon qui traverse le territoire de la commune où elle met en service la gare de Saulce[18].

Le , Saulce est distraite de la commune de Mirmande pour former une commune distincte du canton de Loriol.

Le , la cour d'assises de la Drôme juge l'affaire Guillaume Bayon qui s'était déroulée à Saulce-sur-Rhône[réf. nécessaire].

Politique et administration

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Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19.

À la suite de l'élection municipale de 2020, le conseil municipal est composé de 4 adjoints et de 14 conseillers municipaux[19][source insuffisante].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter. : depuis 1860
18601871Joseph Rodet  
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
18711874?  
18741878?  
18781884?  
18841888?  
18881892?  
18921896?  
18961900?  
19001904?  
19041908?  
19081912?  
19121919?  
19191925?  
19251929?  
19291935?  
19351945?  
19451947?  
19471953?  
19531959?  
19591965?  
19651971?  
19711977Gustave Joubert  
19771983Eugène RoyannezDVG 
1983 Henri Fauqué  
1989 Henri Fauqué  
1995 Henri Fauqué  
2001 Henri Fauqué  
20082014Henri FauquéDVGretraité
20142020Henri Fauqué maire sortant
2020 (28 mai)2022 (22 avril)Daniel Buonomo  
2022 (23 avril)
(élection ?)
En coursStéphane Vargas[19][source insuffisante]  

Rattachements administratifs et électoraux

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La commune a rejoint la communauté d'agglomération de Montélimar en 2010[20].

Politique environnementale

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Finances locales

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Jumelages

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1861. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

En 2021, la commune comptait 1 848 habitants[Note 2], en augmentation de 0,22 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
186118661872187618811886189118961901
1 2911 2951 3141 2861 1671 1801 1981 1311 107
190619111921192619311936194619541962
1 1261 1661 0321 0321 0501 0589571 0701 660
196819751982199019992005200620102015
1 1251 1991 2101 4431 6131 6211 6411 7681 844
20202021-------
1 8381 848-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

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Enseignement

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Santé

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Manifestations culturelles et festivités

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Loisirs

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Sports

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Médias

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Cultes

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Économie

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Agriculture

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En 1992 : céréales, vergers, ovins[14].

Tourisme

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Revenus de la population et fiscalité

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Emploi

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Château La Tour de Veyre (XIVe siècle remanié) : donjon, chapelle gothique, cour Renaissance[14],[17] (voir plus haut : § Histoire).
La tour du Vère : maison forte du XIIIe siècle avec enceinte circulaire, remaniée au XVIe siècle[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Saulce-sur-Rhône possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saulce-sur-Rhône et Livron-sur-Drôme », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Livron », sur la commune de Livron-sur-Drôme - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Livron », sur la commune de Livron-sur-Drôme - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. a b et c J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 367 (Saulce).
  14. a b c d e et f Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Saulce-sur-Rhône.
  15. a b et c J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 18 (Bances).
  16. a et b J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 24 (Bâtie-Tour-de-Verre).
  17. a b c d e et f Géoportail (pour le toponyme)
  18. François et Maguy Palau, Le rail en France : Le Second Empire, t. 1 : 1852-1857, Paris, Palau éd., , 215 p. (ISBN 2-950-942-11-3, BNF 36712104), « 1.21. Avignon-Valence », p. 76-77.
  19. a et b Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  20. « Intercommunalité », sur le site de la mairie (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.